lundi 31 août 2020

La tentation du tripatouillage électoral de la macronie

Dans la deuxième quinzaine de juin, nous avions eu droit à l’invraisemblable feuilleton du potentiel report des élections régionales prévues en 2021, avant que la majorité ne finisse logiquement par abandonner l’idée. Mais il semble que les marcheurs n’aient pas abandonné tous leurs projets dignes d’une république bananière, avec la possible réforme du mode de scrutin législatif

 


La démocratie façon autocrate

 

lundi 24 août 2020

Le grand oubli des commerçants

Il est assez stupéfiant que cela ne soit pas davantage médiatisé, même si on peut penser que les vagues de faillite de la rentrée pourraient remettre le sujet sur le devant de la scène. Si ce n’est le chômage partiel, le gouvernement a complètement abandonné les commerçants qu’il a pourtant contraint de fermer, comme le montrent les premières décisions judiciaires qui leur sont défavorables

 

Abandonnés à la loi de la jungle

 

samedi 8 août 2020

Coronavirus : la crise d’une époque

Il y a trois mois, nous entrions dans la phase de déconfinement. Depuis, les craintes d’une seconde vague gonflent encore plus vite que le nombre de cas. L’occasion de chercher à faire un premier bilan de cette crise, dont bien des aspects soulignent à quel point elle est la crise de notre époque, cette époque du laisser-passer, du laisser-faire, ou des reculs démocratiques, sociaux et des services publics.

 

Une crise de la globalisation dite néolibérale

 

lundi 3 août 2020

Gisèle Halimi : le féminisme n’est pas compatible avec le voile


La semaine dernière, cette figure du féminisme est morte à 93 ans. Elle s’était distinguée il y a 31 ans par une opposition aussi ferme que calme et positive contre le port du voile à l’école, ce qui l’avait poussé à quitter SOS Racisme, alors trop complaisant avec des comportements incompatibles avec notre vision de la société. Ses propos sonnent toujours aussi justes aujourd’hui.




« Le voile est un apartheid »



samedi 1 août 2020

L’oligarchie indécente (2/2) : Carlos Ghosn, l’oublieux oublié

« Ils m’ont traité encore moins bien qu’un citoyen français lambda. C’est un point négatif que je retiens à l’encontre de la France » « je n’ai pas fait l’ENA, je n’ai pas les connexions habituelles du patronat français » : voilà ce que l’ancien patron de Renault a osé déclarer il y a quelques jours lors d’une nouvelle offensive médiatique. On aimerait lui demander comment a-t-il traité la France ?




Réclamer des droits quand on refuse les devoirs…