jeudi 31 décembre 2020

Crise sanitaire, entre fiasco vaccinal et chiffres tronqués

Le bilan de la gestion de la crise sanitaire ne cesse de voir son passif s’alourdir. Après le fiasco des masques, puis celui des tests, c’est sur la vaccination que nos dirigeants échouent à nouveau avec un nombre dérisoire de vaccination par rapport aux autres pays européens. Et pour couronner le tout, les chiffres de l’épidémie sont, à nouveau, présentés de manière partielle et partiale.

 


Les sous-doués au pouvoir, qui nous prennent pour des idiots

 

lundi 21 décembre 2020

Les mots révoltants de la crise sanitaire

Malheureusement, il n’y a pas que le bilan sanitaire, le bilan économique et les atteintes à nos libertés qui posent problème dans la gestion de cette crise sanitaire. Les mots qui ont été choisis par nos dirigeants lors de cette crise ont trop souvent également été choquants, entre approximations blessantes et infantilisation outrancière de l’ensemble des Français. Retour sur quelques exemples…

 


Insensibilité arbitraire et autoritaire

 

samedi 19 décembre 2020

Après Alstom, EDF, Suez… : le président resté banquier d’affaires

La condition d’origine ne doit pas préjuger une personne. Beaucoup parviennent à s’en extraire quand ils évoluent, tel le Général de Gaulle qui faisait bien la différence entre le rôle d’un militaire et celui d’un politique. Malheureusement, avec EDF et Suez, Macron démontre une propension toujours plus inquiétante aux montages dignes d’un banquier d’affaire, au mépris de l’intérêt des Français.

 


Bureaucrate fou au service du capitalisme actionnarial

 

lundi 14 décembre 2020

Quelle stratégie pour les souverainistes face à Marine Le Pen en 2022 ? (billet invité)

Nous poursuivons le dialogue entamé avec Monsieur Frexit sur Twitter au sujet de Marine Le Pen et du Rassemblement national dans la perspective des élections présidentielles de 2022.

 

Billet invité de Monsieur Frexit 

 



Comme je l’ai expliqué sur Twitter et même si des arguments solides en sa faveur existent (exposés par Laurent), je ne crois pas la victoire de Marine Le Pen possible.

Néanmoins, et cela quoi qu’on pense de sa personnalité et de son parti, les souverainistes ne peuvent pas faire comme si ce parti n’existait pas puisqu’il capte entre 20 et 25% des votants aux différentes élections nationales. Comme le dit Guillaume Bigot dans l’excellent Populophobie :  “La possibilité de renverser la table sans rallier cet électorat est nulle”

De plus, pour ses éleveurs, le Rassemblement national incarne (certes mal à nos yeux et à ceux de Raphaël Enthoven) le premier porte parole du souverainisme français.

Dès lors, se pose la sempiternelle question : que faire ?

Je vais présenter ici 4 stratégies possibles en montrant les principaux inconvénients pour chacune d’elles.

1)     La strategie de la distanciation sociale et des tirs de barrage

 

samedi 12 décembre 2020

Marine Le Pen fait le vide autour d’elle

J’ai été interpellé sur Twitter concernant la capacité de Marine Le Pen à gagner la présidentielle de 2022. Et avec le récent ralliement de cadres de Debout la France, il me devient nécessaire de faire un point, à la fois sur l’évolution du paysage politique dit souverainiste, sa capacité à mettre en échec Macron en 2022, et ce qu’il faudrait faire pour y arriver dans les prochains mois.

 


Les Le Pen ne sont-ils pas une impasse pour la France ?

 

lundi 7 décembre 2020

Danone dans le mur du capitalisme actionnarial

Jusqu’au début d’année, Emmanuel Faber était le grand patron champion du « en même temps » : il avait su renouveler l’image sociale du groupe Danone, tout en, chose moins soulignée, générant de la valeur pour ses actionnaires. Las, la machine s’est grippée avec la crise sanitaire. L’annonce d’un plan de licenciement, a fait dire à Marianne que « Le mythe de la gentille entreprise prend l’eau », à quoi la Fondation Concorde a répondu, mais avec un argumentaire très contestable.

 


Communication dissonante et question stratégique

 

samedi 5 décembre 2020

Dépenses sociales : ce que la mauvaise foi de Dominique Seux dit de France Inter

Si, depuis la rentrée, France Inter a injecté un peu de pluralisme économique en faisant débattre Dominique Seux avec Thomas Piketty le vendredi, le reste de la semaine, c’est le Directeur délégué des Echos qui peut réciter seul son catéchisme économique, faisant de la station une sorte de Radio Medef. Nouvel exemple avec la présentation biaisée de l’étude de l’OCDE sur les dépenses sociales.

 


Le mécompte des dépenses sociales