mercredi 12 mai 2021

Rendez-vous le 29 mai à Paris !

 



9 commentaires:

  1. Quel est l'objectif de cette pétition ? Vous n'espérez pas j'imagine que Macron va vous entendre ?

    Et pourquoi demander un nouveau référendum ? Il y en a déjà eu un en 2005, le non l'a emporté et il a été bafoué. A quoi servirait un nouveau référendum qui ne serait pas davantage respecté ? Il faudrait déjà demander qu'on applique celui de 2005 en sortant du traité de Lisbonne qui est illégitime.

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    1. C'est passé parce qu'on a laissé faire. De la même manière que vous vous résignez actuellement. C'est bien, nos adversaires n'attendent que ça.
      Mais les Britanniques ont bien réussi, eux. Un peu de volonté et d'abnégation pour votre pays svp !

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    2. C'est grâce à Farage qu'il y a eu un référendum en 2016 et que le parti conservateur a été obligé de le respecter. Mais en France, nous n'avons ni un Nigel Farage, ni un Boris Johnson. Nous avons une Marine Le Pen qui s'est convertie à l'européisme. Je ne me résigne pas, je suis juste réaliste. Ce n'est pas avec une pétition que l'on changera le contexte politique.

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    3. Et tant qu'à faire une pétition, au lieu de redemander un référendum, il conviendrait plutôt de demander le respect de celui de 2005. En demandant un autre référendum, vous entérinez le non-respect de celui de 2005.

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  2. @ Moi

    Bien sûr, ce n’est qu’une pétition, mais je pense qu’elle permet de rassembler les partisans du Frexit. Elle créé des occasions pour que tous les partisans de cette idée, disséminés dans plusieurs partis ou en dehors, se parlent, se voient, comme dimanche. Bref, déjà beaucoup de bonnes choses.

    Après, l’issue paraît en effet difficile, à moins que des millions de Français ne la signent. Mais l’intérêt est que cela permet uen action militante à tout moment. Même si je priviligie la voie présidentielle pour sortir la France de l’UE, ces occasions ne se présentent que tous les 5 ans. Ici, cela peut durer.

    En outre, l’exemple britannique est une source d’inspiration utile (outre le fait de confirmer qu’il ne faudra pas passer par l’article 50, mais prendre une voie beaucoup plus directe et unilatérale.

    Nigel Farage n’avait pas cette dimension au début. Et dire que demander un référendum sur le Frexit revient à entériner le non-respect du vote de 2005 ne me semble pas avoir le moindre sens. Les deux référendums n’auraient pas du tout la même logique. En outre, tous les signataires ont suffisamment dénoncé le scandale du non respect de notre vote de 2005.

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    1. « Nigel Farage n’avait pas cette dimension au début. »

      Justement, si un référendum avait eu lieu au RU au « début », c'est-à-dire avant que la liste Farage fasse 27% aux élections européennes de 2014, il est probable que le Brexit n'aurait pas eu lieu. Il faut que le contexte politique soit favorable et ce n'est pas le cas en France aujourd'hui, surtout depuis que le RN a abandonné l'idée du Frexit. Aucune grande force politique en France ne demande la sortie de l'UE. Dans ces conditions, votre pétition va faire pschitt. Je note d'ailleurs qu'il y a des grands absents parmi les pétitionnaires, ainsi je n'ai trouvé ni Sapir, ni Cayla, ni Asselineau, ni Frédéric Farah...

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  3. "En outre, l’exemple britannique est une source d’inspiration utile (outre le fait de confirmer qu’il ne faudra pas passer par l’article 50, mais prendre une voie beaucoup plus directe et unilatérale."

    ...ce qui ne serait possible qu'avec un pays raisonnablement uni. Est-ce bien le cas de la France ?

    D'autant qu'au Royaume-Uni il n'y avait pas la difficulté supplémentaire de la monnaie unique.

    Vous-même, vous ne cessez d'entretenir les divisions, en particulier vis-à-vis du RN (et à présent de DLF).

    Bref, si vous voulez réellement préparer cela, il ne suffit pas de signer des pétitions : il faut aussi, en première étape, vous demander si votre sectarisme est bien compatible avec les nécessités d'un tel projet.

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    1. Comment résoudre la contradiction entre une sortie rapide et surprise de l'UE, et la volonté de créer un parti spécifiquement formé dans ce but ?

      Vous imaginez-vous que vous pourrez vous engager publiquement à une sortie auprès des électeurs, sans que ni les européistes, ni les "marchés" ne s'en rendent compte ?

      En réalité, les européistes font, dès à présent, tout ce qu'ils peuvent pour rendre impossible un tel projet (moult réformes de Macron).
      Ils le font d'autant plus facilement que vous ne voulez pas voter pour leurs adversaires, sous divers motifs spécieux.

      L'un de ces motifs spécieux étant d'ailleurs qu'ils ne seraient pas exactement d'accord avec vous sur l'UE.

      Tout cela semble donc voué à rester des blablas de tribune sans la moindre conséquence.

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    2. @ Moi

      Même sans Farage, je crois qu’à tout moment, un référendum sur la sortie de l’euro (même si sa probabilité n’est pas énorme, pour le moment) pourrait réserver une sacrée surprise : le bilan de l’UE est calamiteux dans la crise actuelle et une campagne permettrait de le souligner fortement. L’abandon par le RN de l’idée ne pose pas de problème : cela pourrait élargir l’audience potentielle, en levant les freins des anti-RN, tout en conservant une bonne partie des électeurs du RN, guère UE-lâtres.

      Cette pétition permet d’agir, d’échanger, de se voir le 29 mai. C’est déjà bien. Ce qui est intéressant, c’est que les petites chapelles qui ne se parlaient jamais, commencent à agir ensemble, comme nous le voyons depuis 1 an. Asselineau avait organisé une grande fête à laquelle beaucoup étaient allés. Là, plusieurs figures ont signé. J’y vois un progrès

      @ Anonyme 14h28 & 14h36

      Possible avec un mandat populaire clair. Et étant donné que je suis en faveur de cette idée, il est normal de ne pas soutenir des partis qui capitulent sans même être proches du pouvoir. Ils ne mettent pas en position de le faire en 2017. Une MLP qui voudrait le faire (si tant est qu’elle pourrait le vouloir) sans en avoir dit mot pendant la campagne ne le pourrait probablement pas le faire car tous les contre-pouvoirs pourraient s’y opposer. Seul un mandat clair de rupture me semble assez solide. Ce n’était pas le cas en 2017.

      Vous ne semblez pas avoir compris ma position : je pense qu’il faut être transparent sur un programme de sortie unilatérale et immédiate de l’UE (et donc les européistes et les marchés s’en rendraient compte). Idéalement, une présidentielle est le meilleur véhicule, mais comme elle n’a lieu que tous les 5 ans, il est bien de proposer un référendum pour défendre cette idée à un autre moment.

      Ils ne peuvent pas rendre impossible un tel projet. Vos propos (« ils le font d’autant plus facilement que vous ne voulez pas voter pour leurs adversaires… ») sont toujours aussi délirants. En quoi une voix de plus pour MLP en 2017 aurait changé quoique ce soit (et éventuellement les quelques personnes que j’ai pu convaincre de voter blanc plutôt que MLP). Sur l’UE, je suis en opposition complète avec le RN désormais : ils sont pour l’euro, l’UE, l’OTAN, Schengen. Nous somme loin du « pas exactement d’accord sur l’UE ».

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