Il y a huit jours, la réalisatrice Justine Triet, palme d’or du festival de Cannes, a déclenché une polémique en s’en prenant à la réforme des retraites et en critiquant l’autoritarisme et la répression du gouvernement. Les média n’ont souvent pas été tendres avec elle et je tiens à la remercier fortement sur le fond. Mais ce discours pose à nouveau la question de l’emploi du terme néolibéral.
À Cannes et ailleurs, ne l’appelons plus « néolibéralisme » !