Bien sûr, François Bayrou et le bloc central vont utiliser toutes les grosses ficelles de communication pour tenter de faire accepter une énième cure d’austérité. Edouard Philippe parle de « colère », et le Premier ministre actuel tente de prendre des accents churchilliens. Mais les excès de forme visent principalement à camoufler un vide de réflexion, une incapacité à sortir du cercle étroit de la pensée oligarchiste, qui peut être résumé par une forme de « toujours moins » maladif et auto-destructeur.
L’agenda oligarchiste des austéritaires