S’il y a bien un domaine où l’État pourrait choisir, c’est le lieu de fabrication de produits vendus pour des évènements sportifs qu’il organise et finance, ou sur des sites touristiques publics. Las, malgré le scandale provoqué par la révélation que la mascotte des JO est essentiellement chinoise, les étiquettes des produits dérivés de ces lieux ou manifestations continuent à largement ignorer le « fabriqué en France ». Un scandale qui devrait valoir un carton rouge à tous ceux qui osent parler de réindustrialisation.
Un laisser faire doublement coupable