5 milliards de pertes pour l’un, 5 milliards de pertes pour l’autre. Des records. Le premier semestre 2022 aura été un révélateur du destin croisé de l’ancien duo du service public de l’énergie français, et plus encore des conséquences de la bien mal nommée libéralisation du marché promue par nos dirigeants à travers l’UE : socialisation des pertes et privatisation de profits toujours plus élevés.
Le nouveau marché de l’énergie contre le bien commun