samedi 25 janvier 2020

L’invasion publicitaire toujours plus insupportable de l’anglais


Choose France, Unboring the future, For all your livres : ces dernières semaines, nous avons eu droit à de nouveaux exemples du refus de l’emploi du français par le président de la République et deux des marques les plus emblématiques de notre pays. Un choix tout aussi choquant que contre-productif, qui ne devrait pas être possible dans un pays qui défend véritablement sa langue.




Défendre son identité ou choisir le globish ?



lundi 13 janvier 2020

La faillite de mai 1968, c’est aussi son apport presque nul pour la jeunesse (billet invité)


Billet invité de Rodolphe DUMOUCH, Professeur agrégé de SVT au lycée Jean-Moulin de Revin, Lycée européen situé dans la vallée de la Meuse
Depuis l’avènement du macronisme, s’achève l’ultime étape du glissement de l’héritage de mai 1968 vers le néolibéralisme autoritaire. Le retournement de ces gens-là s’est réalisé un peu comme sur un ruban de Moebius : ils sont passés de l’autre côté en restant sur la même face, ce qui explique que beaucoup de nos oligarques n’en ont même pas conscience. Certains parcours sont édifiants, comme celui de Pascal Bruckner, successivement maoïste, PSU, « nouveau philosophe », kouchnérien et partisan du bombardement de la Serbie en 1999, sarkozyste et maintenant macronien  zélateur de la retraite à 70 ans. De cette déchéance spectaculaire, on pourrait se consoler avec les quelques avancées « sociétales » dont nous aurions bénéficié. Parmi celles-ci, la soustraction des enfants et des jeunes gens à la « domination adulte ». 


Qu’en est-il ? 

Une évolution juridique freinée quand le législateur est issu de la génération des boomers

samedi 4 janvier 2020

Les records révélateurs des marchés financiers


Alors que de plus en plus de peuples se révoltent contre leurs dirigeants, que l’économie mondiale est en difficulté, il y a quelque chose de surnaturel à constater la croissance des marchés financiers en 2019, 26% pour le CAC 40, 27% pour le Dow Jones et 32% pour le Nasdaq. Une performance particulièrement révélatrice de tous les dysfonctionnements de notre époque.




Misère en bas, champagne en haut