Malheureusement,
ce n’est pas surprise, tant
le monstre européen préfère ses dogmes ultralibéraux et la
défense des intérêts des multinationales depuis sa création et la défense
de peuples européens trop divers et loin de leur bulle. Mais les
révélations de la semaine démontrent une nouvelle fois tous les travers de
cette construction européenne dans la négociation avec les Etats-Unis.
Le
vampire enfin exposé à la lumière du jour ?