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vendredi 22 avril 2016

mercredi 20 avril 2016

Le discours totalitaire des bureaucrates qui nous dirigent




Le Fonds monétaire international a publié le 12 avril un rapport semestriel expliquant qu’une sortie de l’UE du Royaume-Uni après le 23 juin prochain provoquerait « des dommages sévères au niveau régional comme au niveau mondial », et que le référendum en lui-même « est déjà source d’incertitude pour les investisseurs. » Les prévisions du FMI sont-elles fiables ou faut-il y voir une opposition idéologique ?

vendredi 21 mars 2014

Présidence de la Commission : le cauchemar continue


Comme le rapporte The Economist, le résultat des prochaines élections européennes pourrait influencer le choix du prochain président de la Commission Européenne. Les noms qui sont avancés à date montrent que cela ne devrait améliorer en rien la qualité de la personne choisie…


Le trio infernal

Pour l’instant, cela n’a pas encore vraiment pénétré le débat public, mais a priori, si les membres du Parti Socialiste Européen arrivent en tête, ce devrait être Martin Schulz, un social-démocrate allemand, qui remplacerait Barroso. Si c’est l’alliance de centre-droite du Parti Populaire Européen (dont fait partie l’UMP – mais pas le Parti Conservateur de David Cameron depuis 2009, ce qui pénalise lourdement ce groupe), ce serait Jean-Claude Juncker, l’ancien premier ministre du Luxembourg. Enfin, les libéraux ont pris Guy Verhofstadt, un ancien premier ministre belge, comme tête de gondole pour ces élections. Les partis n’ont pas mieux choisis que les chefs d’Etats dans le passé…

Martin Shulz représenterait en effet un choix très malheureux. Alors que l’Allemagne exerce de facto le rôle principal dans l’Union Européenne, comme le démontrent toutes les négociations, que ce soit sur l’union bancaire ou les différents plans, et qu’elle bénéficie déjà de la présence de la BCE sur son territoire, lui accorder en plus la présidence de la Commission renforcerait encore sa position hégémonique. Le choix alternatif n’est guère plus réjouissant. En effet, alors que l’Union Européenne continue à discuter de réglementations financières, il serait pour le moins paradoxal que le président de la Commission soit issu d’un parasite fiscal notoire et qui, de facto, vole ses voisins….

La démocratie impossible