On peut sans
doute déjà dire que cette
campagne présidentielle est la pire de la Cinquième République tant elle se
réduit à une succession de scandales et rumeurs qui nous éloignent des si
nombreux débats de fond que nous devrions avoir (que ce soit sur
l’Europe, l’euro,
l’automatisation,
l’école,
ou notre
République). Le malaise démocratique risque d’en sortir extrêmement
renforcé.
Comme dans
une série télé