La France a donc un budget, détaillé par le Premier ministre dans son discours. S’il répond aux trois demandes du PS pour ne pas voter la censure, c’est surtout une compilation de dizaines de mesures de coupes de dépenses ou de prestations ainsi que de relèvements de la fiscalité très souvent déjà vus. Une potion de technocrates peu inspirés dans la ligne droite d’un passé pourtant en échec.
Toujours plus du même, malgré l’impasse